Tout a commencé en 2005, lorsque Mikaël Charry croise la route de David Krakauer et de son homme-machine, So Called, lors d’une master class. Les remixes du jeune manipulateur de sons, dub style et des idées pas franchement copiées, décalées, ont l’air de plaire. A l’époque, celui qui est aussi guitariste et claviériste commence à creuser son propre sillon, après avoir œuvré dans les free parties, avec le collectif Knobz, et dans un groupe « punk manouche », Elektric Geisha.
« C’est ainsi qu’Anakronic est né. » (…) « On part du klezmer revisité pour aller vers le klezmer totalement réinventé, du mélodique au plus abstrait. Chaque titre est l’occasion de tenter et d’innover. »